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 YUAN SUYIN: « Le bonheur est le fruit qu'on cultive et récolte dans son âme. On ne peut pas le recevoir de l'extérieur. » Sa Shan.

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Yuan Suyin

Avatar : Jung Soo Jung/ Krystal F(x)
Âge : 30
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Date d'inscription : 12/12/2015
Yuan Suyin
Engagé
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MessageSujet: YUAN SUYIN: « Le bonheur est le fruit qu'on cultive et récolte dans son âme. On ne peut pas le recevoir de l'extérieur. » Sa Shan.   YUAN SUYIN: « Le bonheur est le fruit qu'on cultive et récolte dans son âme. On ne peut pas le recevoir de l'extérieur. » Sa Shan. EmptySam 19 Déc - 23:17:44

nom
Yuan, du clan Yuan, l'imposant et pourtant limité en nombre, puis très fermé clan Yuan. Il y en a plusieurs, des clans Yuan, mais ce clan Yuan, c'est LE clan Yuan, du moins pour le clan Yuan  Vous l'aurez compris, fierté est de mise. Néanmoins, c'était réellement le plus imposant des clans Yuan et le seul a revendiquer haut et fort son appartenance Mongole.
prénom
 Suyin.
âge
22 ans.
date & lieu de naissance
12/11, Datang, Chine, entre la frontière de la Mongolie intérieure et Beijing.
nationalité
Chinoise aux origines Mongoles, parle le Mandarin, le Cantonais, le Mongole, a été forcée à apprendre le Japonais et apprend depuis quelques années maintenant le Coréen sur le tas.
orientation sexuelle
Hétéro.
emploi, études
Hôtesse de caisse à temps partiel dans une petite épicerie.
groupe
 Engagée.
avatar
Krystal.
caractère
Élevée telle une princesse, Suyin est haute, hautaine et inaccessible, fille du chef du clan. D’un tempérament farouche, elle possédait l’âme de ses femmes mongoles qui, aux côtés des hommes, domptaient les plaines et déserts sur le dos de leurs canassons. Les chevaux, les aigles, tout ça, elle a connu et a su, comme les peuplades de l’autre côté de la frontière, les dompter, et plus que cela, se connecter à eux afin de dominer le monde avec une fierté de jument, et la vision d’un aigle – et de par là, elle maîtrise très bien le tir à l’arc et l’équitation.  Elle vivait dans son propre monde, éloignée de la réalité par son clan, elle n’a jamais connu la pauvreté, cette notion même lui était étrangère. Même quand la brunette se rendait aux cours particuliers, on n’en parlait point. C'est seulement après avoir « voyagé » aux côtés de Ren et de vivre aux côtés de Dojin que la demoiselle a pu se rendre compte de la misère dans laquelle vivait une bonne majorité du monde. Pauvreté qu’elle trouve immonde, injuste et elle se demande encore parfois pourquoi sa famille lui a toujours caché ce versant de la vie. Trop empathique, elle ne peut jamais maintenir le regard face à un pauvre qui pose le sien sur elle. 


Peu à peu elle reprend confiance après sa séquestration. Aujourd'hui, elle sourit un peu plus et devient plus tendre. En proie auparavant à la folie, son esprit se stabilise et la jeune femme devient plus naturelle. Cependant, elle n'oubliera jamais ce qui s'est passé et en restera toujours traumatisée. Mais fort heureusement, avec le soutien qu'on lui offre désormais, elle se sent de mieux en mieux. Alors oui, Suyin reste hautaine et fière, garde toujours un petit côté farouche et n'est pas la plus souriante des femmes mais elle fait des efforts. Elle est reconnaissante et serviable, et aspire à être utile pour autrui. En couple, maladroite, elle ne sait pas tellement comment s'y prendre vu que c'est la première fois que cela lui arrive. Capricieuse et parfois lunatique, il lui arrive d'en faire baver son compagnon, et s'en suit à cela de suite de gros remords. La période « Ren » n'étant pas si éloignée, il lui arrive d'avoir soudainement peur qu'on lui tombe dessus violemment quand elle s'énerve ou de se recroqueviller quand quelqu'un fait un geste trop brusque vers elle. Elle déteste ça puisque cela montre sa condition précédente, mais c'est plus fort qu'elle.

Du côté de ses loisirs, on trouve en Suyin un petit côté artiste. En effet, la peinture ne lui est pas inconnue, depuis toute petite, elle pratique cet art et aujourd'hui, possède un très bon niveau. Peinture traditionnelle chinoise, calligraphie et même abstrait, elle se met à tout, et peu y passer des heures entières. Autrement, le tir à l'arc, plus qu'une passion fut une évidence pour elle, et c'est une grande fierté pour elle que de perpétuer la tradition familiale. Enfin, monter à cheval était une activité très appréciée dans son clan, et c'est une chose qu'elle aimerait bien refaire, le jour où cela se prêtera bien à la situation.
histoire
Le clan Yuan, imposant, fier, admiré et redouté. Voilà une institution bien étrange. Un clan qui a toujours revendiqué son appartenance Mongole, un clan qui n’en a jamais eu honte et qui en a profité un maximum. Un clan, qui au jour d’aujourd’hui, n’existe plus que dans les souvenirs. Et dans la tête de Suyin, plus qu’un passé heureux détruit, dévasté et tout cela par une seule personne. 

Suyin a grandi dans un environnement calme et paisible, il faut dire que posséder un terrain de plusieurs hectares aide énormément. La chinoise a été éduquée par son grand-oncle, vieux sage qu’on aimait l’appeler. Elle se rendait simplement à quelques cours particuliers en dehors des remparts de la famille – là, un petit regain d’air frais lui faisait du bien, voir d’autres têtes qu’à l’accoutumée lui bombait le cœur. Vie paisible, tranquille dans laquelle Suyin a appris à être habile de ces mains, à calligraphier gracieusement et devint artiste peu à peu, comme la quasi-totalité de sa famille. 

Mais cette famille n’était pas toute blanche. La contrebande, voilà une face cachée que Syuin n’a connu que très tard, même quand il fut trop tard. Le clan Yuan possédait et gouvernait un large réseau de contrebande. Un large réseau qu’ils ne souhaitaient pas partager et c’est avec un NON radical qu’ils refusèrent toute collaboration avec Kérès (la grande organisation terroriste qui a mené à bien son plan de réduire à néant la société sud coréenne). Ce fut une grosse erreur. 

Un soir, il y a de cela quelques années,  alors que tout était calme, un intrus s’est immiscé dans la forteresse pourtant impénétrable à l’accoutumée du clan Yuan pour y faire un carnage. Pas une seule âme n’y a réchappé. Une peinture horrible se dessinait devant les yeux flous et paniqués de Suyin. Il ne restait plus qu’elle, sa mère venait de s’écrouler sous son frêle corps, son père, était un peu plus loin, au seuil de la porte. Il n’avait même pas eu le temps de brandir son arme qu’il était déjà mort. 

Pendant deux ans, elle suivit cet homme, Ren, qui l’avait rendue captive, sa captive. Elle vit peu de monde, vécut dans une pièce restreinte, apprit le japonais avec lui, vécut une misère. Il était violent, horriblement violent. Suyin avait oublié tout ce qui se rapprochait à une quelconque notion de bonheur, elle avait souvent tenté de s’échapper pour mieux le regretter par la suite. Mais un soir, le bon, elle prit une bonne fois pour toute, son courage à deux mains. Même si elle a fini avec plusieurs cicatrices sur le corps – dont elle a énormément honte – elle a su se débarrasser de son ravisseur. Au jour d'aujourd'hui, elle ne sait pas ce qu'il est devenu, elle reste craintive, mais s'il reparaît, elle est prête à se venger.

Elle le sait, qu'elle n'aurait jamais survécu sans l'aide de Do Jin, ce mec aux ambitions justicières, qui l'ont fortement influencée depuis. Il était seulement censé l'héberger quelques temps, afin qu'elle se trouve un logis, une petite stabilité – puisque de toutes manières, retourner en Chine ne lui apporterait rien. Mais finalement, les voilà qu'ils vivent ensemble, et pas par simple intérêt. Encore aujourd'hui, Suyin, aussi fière qu'elle peut l'être, se demande comment il la supporte, comment a-t-il fait pour tomber amoureux d'elle mais elle ne s'en plaint pas. Elle aussi l'aime et ne désire pas cracher sur ce sentiment chaleureux, le meilleur qu'elle ait pu ressentir depuis des années. Seulement, Suyin le fait discrètement, timidement et la plupart du temps, implicitement.

Ensemble, ils chassent. Suyin s'est mise en tête de se venger, d'attraper les anciens terroristes afin que justice leur soit donner, mais ils ne sont pas tellement sa première cible. Non, ceux là ne valent pas, dans sa tête, tous ces hommes qui violentent leurs femmes, leurs enfants, plus faibles qu'eux physiquement. Ceux là, elle veut les coffrer, leur faire payer violemment, parce qu'ils le méritent.

derrière l'écran
Ici Chô, pour une présentation "précise, vous pouvez vous rendre par ici! Amusons-nous tous ensemble! YUAN SUYIN: « Le bonheur est le fruit qu'on cultive et récolte dans son âme. On ne peut pas le recevoir de l'extérieur. » Sa Shan. 3417144432
PS: à noter que j'avais la flegme de refaire ma fiche, donc si c'mierdeux, c'normal 8D
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