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 ANDÔ KAORU: « Nous sommes tous des marionnettes dans un monde d'illusions. » Sa Shan.

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AuteurMessage

Andô Kaoru

Avatar : Bang Sung Joon
Âge : 32
Messages : 73
rps : 0
Date d'inscription : 13/12/2015
Andô Kaoru
Enragé
Enragé
MessageSujet: ANDÔ KAORU: « Nous sommes tous des marionnettes dans un monde d'illusions. » Sa Shan.   ANDÔ KAORU: « Nous sommes tous des marionnettes dans un monde d'illusions. » Sa Shan. EmptySam 19 Déc - 23:21:59

nom
 Andô.
prénom
 Kaoru.
âge
24 ans
date & lieu de naissance
Tokyo, Japon, 28 juin 1991.
nationalité
Japonais.
orientation sexuelle
Hétéro.
emploi, études
Enchaîne les petits boulots, n'a pas d'emploi fixe.
groupe
 Enragés.
avatar
Bang Sung Joon
caractère
Kaoru c’est un condensé d’un trop plein de sentiments, d’émotions qui n’a pas encore explosé mais qui implose à plusieurs petites reprises et qui le tue à petit feu. Kaoru c’est un gars coupable, qui porte la honte comme vêtement quotidien et qui se traîne la lâcheté au bout de sa queue. Mettre fin à ses jours, il y a souvent pensé, mais franchir le pas lui est impossible : son cœur se serre, le fait suffoquer, alors il rebrousse chemin. Il supplie, en ces moments là, son cœur de continuer de serrer jusqu’à s’opprimer lui-même, jusqu’à défaillir, mais ce dernier n’accède jamais à sa requête. Même s’il le fait croire, ce jeune homme n’est pas plus stable que sa petite sœur mais si lui ne tient pas, alors il n’y a plus aucun espoir. Alors oui, il est hypocrite, il fait semblant, il devient autre. Non pas à l’extrême. Mais il sait sourire face à quelqu’un qui s’inquiète pour lui. Il sait rire et s’oublier – pour mieux culpabiliser une fois seul ; il sait parfois… se sentir hors de toute tristesse. C’est pour ça qu’il n’aime pas être seul. Avec les autres, les problèmes deviennent plus légers, pas besoin d’y penser, tout est réglé !
Autrement, il y a bien des aspects qu’il ne contrôle pas : peu de chose l’intéresse, quelque peu je-m-enfoutiste, il n’ira pas s’exclamer face à des ragots et se demandera même parfois de qui on parle et ce, même s’il est censé connaître la personne concernée. Au sujet de la politique, il ne sait quoi penser. Quel clan est le meilleur ? Que sait-il ? Il suivra sa sœur jusqu’à sa fin, qu’importe où elle aille. Être du côté des méchants ou des gentils, des vieux conservateurs ou des jeunes innovateurs, tout cela importe peu dans ce genre de situation. Malgré le fait qu'on puisse penser qu’il possède un côté plutôt nonchalant , une fois que Kaoru a une idée en tête, il ne la lâche pas : son entêtement à poursuivre sa sœur en est le parfait exemple. Cette manière de vouloir finir ce qu’il fait se lie plutôt bien avec son côté jaloux voire possessif. En ‘’Amour ‘’, Kaoru peut être vite susceptible et méfiant. Dire qu’il a connu le grand amour, c’est peut-être excessif, mais une fois que monsieur est en couple, il estime sa partenaire apte à ne pas le tromper. Si lui de son côté doit lui être fidèle, il ne sait pas. Le jeune homme a toujours montré un côté quelque peu macho à ses partenaires, les faisant parfois croire au fait qu’il ait pu avoir une aventure. Mais s’il n’a jamais nié, ça ne lui ait jamais vraiment arrivé. C’est juste qu’il n’a pas envie de se battre. Si une demoiselle a voulu, à l’époque, rompre avec lui, il ne s’est jamais battue, parfois trop blessé, d’autres fois n’en ayant carrément rien à péter. Tout dépend. Kaoru n'est pas totalement franc avec les autres, la plupart du temps, il évite tout simplement de dire ce qu'il pense, il se tait. Néanmoins, il faut tout de même réfléchir avant de lui poser une question, il faut être certain de vouloir connaître la réponse. Kaoru est conscient que cela peut lui porter préjudice, c'est pourquoi il sait se taire quand il le faut. Néanmoins, au pire, quand cela ne risque pas de toucher l’un de ces proches, il s’en tape. Parlons-en d’ailleurs, des proches ! Si Kaoru peut être totalement passif quand il s’agit de sa personne, c’est-à-dire, qu’il peut passer au-dessus de ce qui lui tape sur le système (néanmoins, tout être humain à des limites), il n’en est pas de même lorsqu’on ose faire du mal à ses proches, ou juste les insulter, surtout lorsqu’il s’agit de sa sœur, ou bien de sa petite-amie du moment (sûrement qu’il est un peu volage en fait… ), il peut, de ce fait, rapidement venir aux poings. Enfin, une dernière chose, si quelqu’un arrive à faire bouder ce monsieur qui pourtant, aime tellement se montrer positif et souriant, il aura le droit de parler à un mur vivant par la suite. Quand il boude, il boude !

Enfin, Kaoru s’est trouvé une passion : l’écriture. Passion qu’il cache précieusement, à la fois qu’il chérit et en a honte. Il s’est mis à écrire une sorte de roman de formation où les personnages principaux, deux sœurs et un frère, parcourent un monde plein d’embûches et où, il l’espère, ils parviendront à obtenir une vie pleine de mérites et surtout de repos. En parallèle, il tient un journal depuis son adolescence, qui lui, est encore plus précieux.
histoire

« Elle… Elle a pas volé ? C’est tout rouge… Pourquoi ? Pourquoi elle bouge plus ? Onii-chan ! Pourquoi elle bouge plus ? »
Onii-chan a compris pourquoi elle ne bouge plus, mais il est incapable de l’expliquer à sa petite sœur. Bien plus que d’être subjugué par le tableau morbide qui se peint sous ses yeux, il en demeure pétrifié, terrifié et coupable. Le jeu a tourné au cauchemar, il s’en est rendu compte pourtant assez tôt, mais c’était amusant, la voir crier, la voir pleurer. C’était pas grave, ils s’excuseraient après. Il lui achèterait des bonbons, lui ferait un câlin. Et le lendemain, rebelote : pourquoi pas cette fois-ci une grenouille dans son lit ? Rien n’était aussi drôle que les cris de sa grande sœur quand sa petite sœur et lui l’embêtaient. Mais à ce moment même, il n’y a rien de drôle, Onee-chan ne crie plus, ses yeux sont restés grands ouverts et pourtant, elle ne fait pas un geste, et une énorme flaque rouge s’écoule autour de son corps. Son regard est fixé droit sur eux, les accuse et déplore leur stupidité : ils ont supprimé leur seule protection, leur seule bulle d’amour, ils sont foutus maintenant : ils ont tué leur grande sœur.  
« - Onii-chan, elle bouge plus ! Pourqu…
- On jouait juste, Reira… On jouait… Shino… Shinobu est tombée…
- Mais c’est pas vrai… On… On a…
- Elle est tombée.
»

Les grands croient cette version. Andô Shinobu, tombée du toit d’un immeuble. Déraisonnable, elle avait emmené avec elle dans son jeu stupide son petit frère et sa petite sœur. Au lieu de les garder sagement, elle s’excite, s’exclame et fait un pas de trop. Maintenant on plaint les petits Andô : Kaoru et Reira, eux qui au départ n’ont pas une famille normale. Un père handicapé suite à un accident de travail et une mère infidèle et alcoolique depuis, jamais là, tout le monde penseraient que leurs enfants seraient des progénitures à jeter immédiatement à la déchèterie et pourtant… Et pourtant, il n’en était rien. Kaoru et Reira se comportaient très bien, tout ça parce que Shinobu, seulement de deux ans l’ainée de Kaoru, s’occupait d’eux comme une mère le ferait. Douce, sensible, bonne ménagère, elle savait économiser, calmer les disputes, nettoyer et s’occuper de leur père : une enfant sacrifiée. Quoi de plus logique qu’une mort horrible pour cette fillette ? A douze ans, trahie par sa cadette de 8 ans et demi, d’un geste de la main, vif et plein d’entrain, accompagné de rires candides, Reira a commis le crime le plus terrifiant de sa vie et Kaoru s’est rendu coupable en la laissant faire.

Depuis ce jour funeste, Reira ne croit plus en rien mais bien lâche, elle n’ose mettre fin à ces jours. Elle en veut aussi à son frère de l’avoir couverte. Kaoru le sait bien. Ce mensonge, ça a été plus fort que lui. Il venait de perdre une sœur, il ne souhaitait pas voir s’en aller l’autre. C’est ainsi qu’il la suit, comme il peut, partout où elle va. Et ce, même si elle le rejette. Reira est devenue incontrôlable et lui trop mou. Lui non plus, ne croit plus en rien ; néanmoins, il aurait aimé une vie paisible, loin de tous, où avec sa sœur, ils auraient pu recommencer une nouvelle vie, sans leurs parents, sans… sans Shinobu ; peut-être que ça aurait fonctionné ? Il a cependant dû renoncer à ce petit rêve, le seul qu’il s’est autorisé depuis la mort de sa grande sœur.
Alors, comme il peut, il tente de calmer Reira – en vain – en ne la lâchant pas, de peur que ses nerfs lâchent un jour et qu’elle aussi, subisse le destin funeste de leur sœur ainée. C’est ainsi, il y a quelques années, qu’il est rentré dans l’organisation terroriste Kérès et s’est installé en Corée du Sud sans en savoir parler la langue. Tuer pour tuer. Voilà sa vision quant aux actes de ces membres. Mais il n’est pas du genre à juger trop hâtivement. Le comportement de Reira s’est détérioré une fois chez Kérès et la mélancolie du jeune homme a creusé un puy sans fond en lui. Pourtant il l’a quand même suivie. Quitte à être coupable d’une chose horrible, non lavable, pour laquelle il restera tâché à jamais, autant l’être une deuxième fois, ça ne changerait rien. Le comble, c’est qu’il n’était pas faible à la tâche.

Néanmoins, quand la guerre sonna son glas, il se sentit presque soulagé, mais ça n’a pas duré longtemps. Reira, perturbée par ce changement radical n’a pas compris pourquoi les terroristes s’en allaient soudainement, pourquoi ils ne continuaient tout simplement pas à s’imposer. Hargneuse, elle s’impose chez les enragés. Et bien évidemment, Kaoru suit le mouvement, « malgré lui, malgré elle ». Au fond de lui, il y croit encore, à ce que Reira redevienne une gentille petite sœur. Mais, peut-être, faudrait-il qu’il se rende compte qu’il est bien trop passif avec elle ?

derrière l'écran
Chô² ANDÔ KAORU: « Nous sommes tous des marionnettes dans un monde d'illusions. » Sa Shan. 3460163937
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